Veillée
de la Pleine lune du 16 Novembre 2016
16eme
veillée de l’année lunaire
5777 commencée le 09 Avril 2016
196ème veillée depuis le 12/12/08
196ème veillée depuis le 12/12/08
La
veillée aura lieu dans la nuit de Mardi
à Mercredi
16Novembre
2016
Ce
Mercredi 16 Novembre 2016 est le 15eme jour du 8eme Mois(Hechvan) de
l’année lunaire
Le
péché de Jeroboam et ses conséquences pour Israel*
Par
Ph.L.
1
Rois 12 : 26-33
Jéroboam
dit en son cœur:
Le royaume pourrait bien maintenant retourner à la maison de David.
Si ce peuple monte à Jérusalem pour faire des sacrifices
dans la maison de l'Éternel, le cœur de ce peuple retournera à son
seigneur, à Roboam, roi de Juda, et ils me tueront et retourneront à
Roboam, roi de Juda. Après
s'être consulté, le roi fit deux veaux d'or, et il dit au peuple:
Assez longtemps vous êtes montés à Jérusalem; Israël! voici ton
Dieu, qui t'a fait sortir du pays d'Égypte. Il plaça
l'un de ces veaux à Béthel, et il mit l'autre à Dan. Ce fut là
une occasion de péché. Le peuple alla devant l'un des veaux jusqu'à
Dan. Jéroboam fit une maison de hauts lieux, et il créa des
sacrificateurs pris parmi tout le peuple et n'appartenant point aux
fils de Lévi. Il établit une fête au
huitième mois, le quinzième jour du mois, comme la fête qui se
célébrait en Juda, et il offrit des sacrifices sur l'autel.
Voici ce qu'il fit à Béthel afin que l'on sacrifiât aux veaux
qu'il avait faits. Il plaça à Béthel les prêtres des hauts lieux
qu'il avait élevés. Et il monta sur l'autel
qu'il avait fait à Béthel, le quinzième jour du huitième mois,
mois qu'il avait choisi de son gré. Il fit une fête pour les
enfants d'Israël, et il monta sur l'autel pour brûler des parfums.
Jéroboam
va régner sur Israël pendant 22 ans. Il est toujours
parlé de lui comme de celui qui a fait
pécher
Israël
(1 Rois 14: 16; 15: 26, 34; 16: 26 et de nombreux autres passages).
Il détourne violemment
le peuple de
suivre l’Éternel.
Il leur fait commettre un grand péché, dont ils se rendront
coupables jusqu'au moment où ils seront envoyés en exil sur la
terre de l'Assyrie (2 Rois 17: 21-22), deux cent cinquante ans plus
tard environ!
Très
rapidement, ce nouveau roi montre qu'il n'a aucun désir de plaire à
Dieu, ni aucune foi pour s'appuyer sur ses promesses. «Il
dit en
son
cœur:
Maintenant le royaume retournera à la maison de David» (1 Rois. 12:
26).
«Toutes
choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons
affaire»: l’Éternel
savait
que Jéroboam avait «un méchant cœur
d'incrédulité» et c'est ce qu'il nous révèle (Héb. 3: 12; 4:
12-13)! Il dévoile le raisonnement caché dans le cœur
de cet homme: «Si
ce peuple monte pour offrir des sacrifices dans la maison de
l’Éternel
à Jérusalem, le cœur
de ce peuple retournera à son seigneur, à Roboam, roi de Juda, et
ils me tueront» (1
Rois 12: 27)!«Comme il a pensé dans son âme, tel il est» (Prov.
23: 7). Il n'a confiance ni en Dieu, ni en personne. Il ressemble à
Saül qui, s'étant éloigné de l’Éternel,
en venait à se méfier de tout son entourage (1 Sam. 22: 8).
Laissant Dieu de côté, Jéroboam réalise que son maintien sur le
trône est exposé à de sérieux dangers; il n'est après tout, pour
une grande partie du peuple, qu'un usurpateur de cette position en
Israël. Pour un incrédule comme Jéroboam, de telles pensées sont
tout à fait judicieuses.
Pourtant
le roi savait que tout homme du peuple d'Israël était tenu de
paraître devant l’Éternel
son Dieu trois fois l'an, au lieu qu'il avait choisi, et ce lieu
alors était Jérusalem (Deut. 16: 16)! Il n'ignorait probablement
pas non plus que Dieu avait même promis que l'ennemi ne désirerait
pas le pays au moment où les adorateurs seraient à Jérusalem. Il
montrait ainsi le prix qu'il attachait à l'obéissance de son peuple
(Ex. 34: 24)!
Avec
cela, ce roi estimait sans doute, comme tant d'autres l'ont
fait, que la religion est l'opium du peuple, et qu'il faut savoir,
sans y croire, laisser une place aux vieilles traditions.
Aussi, après avoir pris
conseil, on ne sait
de qui, mais
certainement pas auprès d'hommes pieux, il conçoit un plan qui
sera, hélas, couronné de succès. Il fait deux
veaux d'or - Aaron fait école - et les place habilement, l'un au
nord, à Dan, et l'autre au sud, à Béthel; cette ville vivait
encore sur une réputation religieuse désormais usurpée. Elle
n'était qu'à une vingtaine de kilomètres au nord de Jérusalem (1
Rois 12: 30) ! Elle sera ultérieurement prise par le roi Abija de
Juda (2 Chr. 13: 19).
L'homme
est inexcusable quand il rejette le témoignage de la création et
change la gloire du Dieu incorruptible en la ressemblance de l'image
d'un homme corruptible, et d'oiseaux et de
quadrupèdes
et de reptiles (Rom. 1: 19-23). C'est pourtant ce que Jéroboam
n'hésite pas à faire, lui qui appartenait à cette nation des
«Israélites, auxquels sont l'adoption, et la gloire, et les
alliances, et le don de la loi, et le service divin, et les
promesses, auxquels sont les pères, et desquels, selon la chair, est
issu le Christ» (Rom 9: 4-5). Combien grande était sa
responsabilité!
Il
ne lui reste plus qu'à venir dire au peuple: «C'est trop
pour vous de
monter à Jérusalem; voici
tes
dieux,
Israël, qui t'ont fait monter du pays d’Égypte»!
(1 Rois 12: 28). Ce que nous disons ou faisons a souvent un effet
beaucoup plus grand que nous pensons, en particulier si l'on occupe
une place d'autorité. C'était, hélas, parler selon le désir du
cœur
du peuple: il voulait avoir une religion qui convienne à la chair.
Pourtant les idoles sont vraiment le culte des démons. Les
choses que les nations sacrifient aux idoles, elles les sacrifient
aux démons (1 Cor.
10: 20).
«Cela
devint un péché,
et le peuple alla devant l'un des veaux jusqu'à Dan» (1 Rois 12:
30). Le culte à l’Éternel
supposait - et suppose toujours - un engagement
total
qui ne correspond pas à notre désir naturel! Nous n'avons pas,
hélas, à chercher longtemps ici un enseignement pour nos âmes.
Nous passons souvent avec indifférence,
voire avec ennui à côté de tant de témoignages de la grâce de
Dieu! Quelle place laissons-nous vraiment aux droits de Dieu et à
son amour, à commencer par la croix où il donna son Fils pour nous?
«Et
Jéroboam fit une maison de hauts lieux et établit des
sacrificateurs d'entre toutes les classes du peuple, lesquels
n'étaient pas des fils de Lévi»
(1 Rois. 12: 31). Quiconque venait avec un jeune taureau et sept
béliers, pour être consacré, devenait sacrificateur de ce qui
n'est pas Dieu (1
Chr. 13: 9)! Ils sacrifiaient à Béthel, l'endroit exact où Jacob
avait reconnu: «Ce n'est autre chose que la maison de Dieu, et c'est
ici la porte des cieux»! (Gen. 28: 17). Béthel devient le centre de
l'idolâtrie. Le
Nouveau Testament décrit l'assemblée locale comme «la maison de
Dieu, qui est l'assemblée du Dieu vivant, la colonne et le soutien
de la vérité» (1 Tim. 3: 15). Mais toutes sortes de désordres
peuvent surgir si Christ cesse d'être le centre de rassemblement de
son peuple.
Les
lévites repoussés
par Jéroboam et ses fils de la sacrificature de
l’Éternel,
refusent de se joindre à une adoration blasphématoire: ils
abandonnent leurs banlieues et leurs possessions et se réfugient en
Juda (2 Chr. 11: 13-14). C'était pour le peuple d'Israël une perte
incalculable;
par contre, Juda est fortifié.
Répartis normalement sur tout le territoire, les Lévites étaient
jusqu'alors occupés à enseigner les ordonnances et la loi au peuple
(Deut. 33: 10). Mais ils refusèrent
de s'associer à l'iniquité, imités par tous ceux qui dans les dix
tribus mettaient leur cœur
à rechercher l’Éternel,
le Dieu d'Israël. Eux aussi vinrent à Jérusalem pour sacrifier (1
Chr. 11: 16)!
Combien
de chrétiens ont dû et doivent encore abandonner leurs biens par
fidélité au Seigneur (Héb. 10: 34)!
Jéroboam
établit aussi une
fête au huitième
mois, «le mois qu'il avait imaginé
dans son propre coeur» (1 Rois 12: 33; Nom. 15: 39). Sans
doute cette fête était-elle supposée remplacer la fête des
tabernacles qui, elle, avait lieu au septième mois?
Que
de pratiques et de coutumes au milieu de la chrétienté ont été
imaginées par le cœur
de l'homme et instaurées sans aucun fondement scripturaire !
Déjà,
après avoir formé avec un ciseau l'or pour en faire le premier veau
d'or dans le désert, Aaron avait osé
crier:
«Demain, une fête
à l’Éternel
!» Et le
lendemain, ils s'étaient levés de bonne heure, avaient offert des
holocaustes et des sacrifices et bientôt, on avait pu voir le peuple
devenu idolâtre s'asseoir pour manger et pour boire, et bientôt se
lever pour se divertir (Ex. 32: 5-6; 1 Cor. 10: 7)!
Désormais
ici aussi, les fils d'Israël ont à disposition un cadre religieux
auquel la plupart vont s'habituer
aisément:
des autels, des sacrificateurs et surtout
des
fêtes ! La
plupart d'entre eux ne semblent même pas mal à l'aise d'accepter
que ces deux veaux, sortis de la main des orfèvres, soient présentés
par ce roi comme les dieux qui les auraient fait monter d’Égypte!
«Pécher
et accomplir ses devoirs religieux, on voit souvent ces deux choses
aller ensemble. Quand la puissance de la piété est absente, le
contact avec les choses saintes n'en est que plus dangereux»
(JND).
Jéroboam
fait un pas de plus: il offre lui-même sur l'autel, faisant fumer
l'encens (1 Rois 12: 33)! Alors un homme de Dieu vient de Juda, par
la parole de l’Éternel,
à Béthel, au moment où justement le roi officie près de l'autel,
et il crie contre l'autel! Un fils va naître à la maison de David:
son nom sera Josias
et il offrira sur
cet autel les ossements de ces sacrificateurs des hauts lieux (1 Rois
13: 2)! Dans cette remarquable prophétie, le nom d'un homme est
révélé 300 ans avant sa naissance, comme il le sera aussi pour
Cyrus (Es. 44 28; 45: 1) et le Seigneur lui-même (Es. 7: 14).
L'homme
de Dieu donne un signe que c'est bien l'Eternel a parlé: l'autel va
se fendre, et la cendre qui est dessus se répandre (1 Rois 13: 3).
Follement, Jéroboam s'écrie, en étendant sa main: «Saisissez-le!».
Mais Dieu a dit: «Ne faites pas de mal à mes prophètes» (Ps. 105:
15). La main, étendue par le roi contre l'homme de Dieu, sèche: il
ne peut la ramener à lui! Sa force ne lui est rendue que sur
l'intercession du prophète. Ici aussi, le Seigneur donne à
connaître qu'il n'a pas oublié la maison de David au milieu de tout
ce mal. C'est en elle que se trouvera «le réparateur des brèches»
(Es. 58 : 12), et le juge de l'iniquité chez ceux qui l'ont
faite.
Dieu
a fait briller sa grâce en redonnant à Jéroboam l'usage de sa
main. Il nous bénit selon ce qu'il est, mais jamais selon ce que
nous sommes. Pourtant les manifestations successives de la colère et
des compassions divines laissent Jéroboam sans
excuse.
Sans repentance, il pèche volontairement.
C'était son
cœur,
plutôt que sa
main, qui avait un besoin urgent de guérison!
Pourtant,
«après
cela,
Jéroboam ne revint pas de sa mauvaise voie…»; ce fut aux yeux de
Dieu un très grand péché (1 Rois 13: 33-34). Mais une fois encore,
Dieu cherche à l'arrêter dans sa mauvaise voie. «Ce n'est pas
volontiers qu'il afflige et contriste les fils des hommes…Recherchons
nos voies, et scrutons-les, et retournons jusqu'à l’Éternel
» (Lam. 3: 33,
40).
«En
ce temps-là, Abija, fils de Jéroboam, fut malade» (1 Rois 14: 1).
Alors le roi dans son désarroi se souvient d'Akhija, le prophète,
qui lui avait annoncé longtemps avant qu'il deviendrait roi sur ce
peuple. C'est seulement par un calcul politique plein d'hypocrisie
qu'il a instauré tout ce culte idolâtre et égaré tout son peuple.
A-t-il donc fait un retour sur lui-même? Hélas non! La fraude dont
il use, de connivence avec sa femme qui se déguise, prouve qu'aucune
vraie humiliation n'est produite dans son cœur.
Mais quelle nouvelle folie de sa part! Dieu lui-même avertit son
serviteur Akhija, dont les yeux sont devenus fixes à cause de l'âge,
de l'identité réelle de la visiteuse qui va se présenter.
Akhija
lui dit:«Entre, femme de Jéroboam, pourquoi feins-tu d'être une
autre? Or je suis envoyé vers toi pour t'annoncer des choses dures»
(1 Rois 14: 6). L'enfant va mourir au moment où la malheureuse mère
entre dans la ville. L’Éternel
rappelle combien il a voulu bénir Jéroboam, mais celui-ci a fait ce
qui est mauvais plus que tous ceux qui ont été avant lui. « Tu
t'es fait d'autres dieux…tu m'as jeté derrière ton dos » (1 Rois
14: 9). L’Éternel
a parlé: tous les hommes seront retranchés de la maison de
Jéroboam… et Israël aussi sera frappé «comme quand le roseau
est agité dans les eaux». Il sera arraché de sa bonne terre et
dispersé au-delà du fleuve, «parce qu'ils ont fait des ashères,
provoquant éternelle
à la colère» (1 Rois 14: 10-11, 15; 2 Rois 17: 6).
Tout
ceci sera la conséquence« des péchés de Jéroboam qu'il a commis
et par lesquels il
a fait pécher Israël».
De telles paroles nous font frissonner (1 Rois 14: 16)!
Mais
que convient-il de comprendre quant aux voies de Dieu touchant ce
cher enfant, Abija? Le nom d'Abija signifie: l’Éternel
est mon père. A son sujet, Dieu déclare que lui seul
dans cette famille entrera dans un sépulcre, car «en lui seul,
dans la maison de Jéroboam, a été trouvé quelque chose d'agréable
à l’Éternel,
le Dieu d'Israël» (1 Rois 14: 13). Combien la fidélité de cet
enfant, telle une lampe dans un lieu obscur, était précieuse aux
yeux de l’Éternel!
Quel «jardin clos» aux fruits exquis pour le cœur
de Dieu! Alors Il y est descendu pour «cueillir des lis» (Cant. 4:
12-13; 6: 2). Pourquoi
Dieu n'a-t-il pas justement laissé vivre Abija? Il a voulu le
retirer d'un aussi mauvais milieu et le prendre auprès de lui, sort
incomparablement meilleur! Son Père céleste l'a appelé à la
maison.C'est l'exemple d'un juste
recueilli de devant le mal (Es. 57: 1)! Déjà, en ces jours, était
trouvé un de «ces petits qui croient en moi» (Matt. 18: 6).
Le
jugement prononcé sur Jéroboam va s'accomplir. Le récit des faits
se trouve dans 2 Chroniques 13: 1-20. Abija, le fils de Roboam,
accède au trône de Juda et bientôt de grandes armées sont prêtes
à s'affronter. Israël aligne exactement deux fois plus de
combattants. Mais le nombre n'est pas toujours synonyme de victoire.
La bataille est à
l’Éternel
et cette fois, il va donner la victoire à Juda. Abija avertit
Israël: «Ne faites pas la guerre contre l’Éternel,
le Dieu de vos pères; car vous ne réussirez pas» (2 Chr. 13: 12).
Jéroboam, toujours habile, «fait prendre un détour à une
embuscade» (v. 13) pour surprendre Juda. Dans leur détresse, les
hommes de l'armée de Juda crient à Dieu dans la bataille, tandis
que les sacrificateurs font sonner les trompettes. C'est alors que
«Dieu frappa
Jéroboam et tout
Israël devant Abija et Juda». «Jéroboam n'eut plus de force
durant les jours d'Abija; et finalement l’Éternel
le frappa et il
mourut» (2 Chr. 13 : 20).
Il
est frappant de lire les reproches que Dieu adresse à chacun des
rois qui ont succédé à Jéroboam et qui ont marché «dans ses
péchés» (1 Rois 15: 3). Chacun est considéré comme pleinement
responsable
d'avoir laissé
subsister
ces veaux d'or et ces hauts lieux, empêchant les Israélites de
retourner pratiquer le culte à Jérusalem, où Dieu avait fait
habiter son nom. Ces rois qui s'adonnaient, eux-aussi, au culte des
faux dieux pouvaient-ils en être excusés par ce que l’Écriture
révèle: «et aussi il y avait de bonnes choses en Juda» (2 Chr. 12
: 12) ? Nous ne le pensons pas: «chacun rendra compte pour lui-même
à Dieu» (Rom. 14 : 12).
Aujourd'hui
aussi, des chrétiens que l'on cherche à rendre attentifs à leur
responsabilité d'obéir à la Parole de Dieu, disent parfois: Ces
chrétiens qui déclarent vouloir tenir ferme les vérités relatives
à l'Assemblée et qui insistent sur la nécessité de se
séparer du mal
doctrinal et moral, ont-ils une conduite meilleure que la nôtre? Le
Seigneur prend connaissance de la marche de chacun des siens, où
qu'ils se trouvent. Et à quiconque il a été beaucoup donné, il
sera beaucoup redemandé! Dieu mettra en lumière les conseils cachés
des cœurs
et chacun recevra sa louange de la part de Dieu (1 Cor. 4 : 5).
Que
celui qui appartient au peuple de Dieu recherche avec soin la volonté
du Seigneur révélée dans sa Parole et s'attache humblement à la
mettre en pratique. Suivant l'exemple des premiers chrétiens,
persévérons dans la doctrine et la communion des apôtres, dans la
fraction du pain et les prières (Act.
2 : 42).
Bien
des enseignements ont été pratiquement abandonnés
au fil des siècles, et la chrétienté est dans un état
de
confusion
humiliant. En sommes-nous vraiment affligés? On devient si vite
indifférent
et superficiel:
le service du Seigneur devient pesant et nous paraît trop
difficile…Demandons instamment au Seigneur de raviver
notre amour pour lui:
alors ses commandements ne nous seront pas pénibles (1 Jean 5 :
3) mais précieux!
En
cette
veille de pleine lune,
prions dans le puissant et glorieux nom de notre Seigneur et Sauveur
Jésus Christ:
-
Célébrons, louons, adorons Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le
Saint Esprit pour tout ce qu'Il fait et tout ce qu'Il est
-
Confessons nos péchés et repentons nous. Demandons pardons à Dieu
le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit pour nos proches, pour
nos nations ainsi que pour nos dirigeants.
-
Plaidons le Sang de Jésus Christ sur nous même,
couvrons nos demeures, nos proches, nos entreprises du sang de
Jésus christ. Aspergeons le Sang de Jésus Christ sur nos quartiers,
nos nations…
-
Remercions le Seigneur pour ce message qui vient nous rappeler
l'importance de la pureté du culte que nous rendons à notre Père
céleste.
-
Demandons que le voile ténébreux qui empêche les enfants de Dieu
et les Nations de discerner les temps soit détruit.
-
Prions pour qu'un vent de réveil, un vent de repentance souffle sur
le corps de Christ et sur les Nations.
-
Invitons la lumière divine dans nos vies et dans nos cultes afin que
tout veau d'or subsistant dans nos vies dans nos églises soit
dévoilé. Renonçons à tout ce qui n'est biblique dans nos vies et
dans nos cultes avec l'aide du Saint Esprit.
-
Dénonçons les œuvres de ténèbres qui vont avoir lieu en cette
période de pleine lune et anéantissons les dans le nom de Jésus
Christ
-
Invoquons le Saint Feu contre tout autel satanique dressé en cette
période pour y sacrifier des enfants ou des ministères selon :Vous
renverserez leurs autels, vous briserez leurs statues, vous brûlerez
au feu leurs idoles, vous abattrez les images taillées de leurs
dieux, et vous ferez disparaître leurs noms de ces lieux-là. Deut.
12:3
car
voici ce qu'ils font:
Il
rebâtit les hauts lieux qu'Ézéchias, son père, avait détruits,
il éleva des autels à Baal, il fit une idole d'Astarté,
comme avait fait Achab, roi d'Israël, et il se prosterna devant
toute l'armée des cieux et la servit. Il bâtit des
autels dans la maison de l'Éternel, quoique l'Éternel eût dit:
C'est dans Jérusalem que je placerai mon nom. Il bâtit
des autels à toute l'armée des cieux dans les deux
parvis de la maison de l'Éternel. Il fit passer son fils
par le feu; il observait les nuages et les serpents pour en tirer des
pronostics, et il établit des gens qui évoquaient les esprits et
qui prédisaient l'avenir. Il fit de plus en plus ce qui est mal aux
yeux de l'Éternel, afin de l'irriter. 2 Rois 21 : 2-6
-
Prions pour le salut des âmes en Israël, en Afrique, en France et
dans toutes les nations.
-
prions pour l'accomplissement des prophéties divines en Côte
d'Ivoire et en Afrique, en Israël.
-
Prions pour que l’Église de Christ se prépare sérieusement à
l'enlèvement.
Demeurons
bénis et bonne veillée.
* http://www.bible-notes.org/article-81-les-peches-de-jeroboam-et-leurs-consequences-durables-sur-le-peuple-d-israel.html