mardi 15 novembre 2016

le péché des veaux d'or


Veillée de la Pleine lune du 16 Novembre 2016

16eme veillée de l’année lunaire 5777 commencée le 09 Avril 2016
19
6ème veillée depuis le 12/12/08
La veillée aura lieu dans la nuit de Mardi à Mercredi 16Novembre 2016
Ce Mercredi 16 Novembre 2016 est le 15eme jour du 8eme Mois(Hechvan) de l’année lunaire
Le péché de Jeroboam et ses conséquences pour Israel*
Par Ph.L.
1 Rois 12 : 26-33
Jéroboam dit en son cœur: Le royaume pourrait bien maintenant retourner à la maison de David. Si ce peuple monte à Jérusalem pour faire des sacrifices dans la maison de l'Éternel, le cœur de ce peuple retournera à son seigneur, à Roboam, roi de Juda, et ils me tueront et retourneront à Roboam, roi de Juda. Après s'être consulté, le roi fit deux veaux d'or, et il dit au peuple: Assez longtemps vous êtes montés à Jérusalem; Israël! voici ton Dieu, qui t'a fait sortir du pays d'Égypte. Il plaça l'un de ces veaux à Béthel, et il mit l'autre à Dan. Ce fut là une occasion de péché. Le peuple alla devant l'un des veaux jusqu'à Dan. Jéroboam fit une maison de hauts lieux, et il créa des sacrificateurs pris parmi tout le peuple et n'appartenant point aux fils de Lévi. Il établit une fête au huitième mois, le quinzième jour du mois, comme la fête qui se célébrait en Juda, et il offrit des sacrifices sur l'autel. Voici ce qu'il fit à Béthel afin que l'on sacrifiât aux veaux qu'il avait faits. Il plaça à Béthel les prêtres des hauts lieux qu'il avait élevés. Et il monta sur l'autel qu'il avait fait à Béthel, le quinzième jour du huitième mois, mois qu'il avait choisi de son gré. Il fit une fête pour les enfants d'Israël, et il monta sur l'autel pour brûler des parfums.




Le règne de Jéroboam:
Jéroboam va régner sur Israël pendant 22 ans. Il est toujours parlé de lui comme de celui qui a fait pécher Israël (1 Rois 14: 16; 15: 26, 34; 16: 26 et de nombreux autres passages). Il détourne violemment le peuple de suivre l’Éternel. Il leur fait commettre un grand péché, dont ils se rendront coupables jusqu'au moment où ils seront envoyés en exil sur la terre de l'Assyrie (2 Rois 17: 21-22), deux cent cinquante ans plus tard environ!

Très rapidement, ce nouveau roi montre qu'il n'a aucun désir de plaire à Dieu, ni aucune foi pour s'appuyer sur ses promesses. «Il dit en son cœur: Maintenant le royaume retournera à la maison de David» (1 Rois. 12: 26).

«Toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons affaire»: l’Éternel savait que Jéroboam avait «un méchant cœur d'incrédulité» et c'est ce qu'il nous révèle (Héb. 3: 12; 4: 12-13)! Il dévoile le raisonnement caché dans le cœur de cet homme: «Si ce peuple monte pour offrir des sacrifices dans la maison de l’Éternel à Jérusalem, le cœur de ce peuple retournera à son seigneur, à Roboam, roi de Juda, et ils me tueront» (1 Rois 12: 27)!«Comme il a pensé dans son âme, tel il est» (Prov. 23: 7). Il n'a confiance ni en Dieu, ni en personne. Il ressemble à Saül qui, s'étant éloigné de l’Éternel, en venait à se méfier de tout son entourage (1 Sam. 22: 8). Laissant Dieu de côté, Jéroboam réalise que son maintien sur le trône est exposé à de sérieux dangers; il n'est après tout, pour une grande partie du peuple, qu'un usurpateur de cette position en Israël. Pour un incrédule comme Jéroboam, de telles pensées sont tout à fait judicieuses.

Pourtant le roi savait que tout homme du peuple d'Israël était tenu de paraître devant l’Éternel son Dieu trois fois l'an, au lieu qu'il avait choisi, et ce lieu alors était Jérusalem (Deut. 16: 16)! Il n'ignorait probablement pas non plus que Dieu avait même promis que l'ennemi ne désirerait pas le pays au moment où les adorateurs seraient à Jérusalem. Il montrait ainsi le prix qu'il attachait à l'obéissance de son peuple (Ex. 34: 24)!

Avec cela, ce roi estimait sans doute, comme tant d'autres l'ont fait, que la religion est l'opium du peuple, et qu'il faut savoir, sans y croire, laisser une place aux vieilles traditions. Aussi, après avoir pris conseil, on ne sait de qui, mais certainement pas auprès d'hommes pieux, il conçoit un plan qui sera, hélas, couronné de succès. Il fait deux veaux d'or - Aaron fait école - et les place habilement, l'un au nord, à Dan, et l'autre au sud, à Béthel; cette ville vivait encore sur une réputation religieuse désormais usurpée. Elle n'était qu'à une vingtaine de kilomètres au nord de Jérusalem (1 Rois 12: 30) ! Elle sera ultérieurement prise par le roi Abija de Juda (2 Chr. 13: 19).

L'homme est inexcusable quand il rejette le témoignage de la création et change la gloire du Dieu incorruptible en la ressemblance de l'image d'un homme corruptible, et d'oiseaux et de quadrupèdes et de reptiles (Rom. 1: 19-23). C'est pourtant ce que Jéroboam n'hésite pas à faire, lui qui appartenait à cette nation des «Israélites, auxquels sont l'adoption, et la gloire, et les alliances, et le don de la loi, et le service divin, et les promesses, auxquels sont les pères, et desquels, selon la chair, est issu le Christ» (Rom 9: 4-5). Combien grande était sa responsabilité!

Il ne lui reste plus qu'à venir dire au peuple: «C'est trop pour vous de monter à Jérusalem; voici tes dieux, Israël, qui t'ont fait monter du pays d’Égypte»! (1 Rois 12: 28). Ce que nous disons ou faisons a souvent un effet beaucoup plus grand que nous pensons, en particulier si l'on occupe une place d'autorité. C'était, hélas, parler selon le désir du cœur du peuple: il voulait avoir une religion qui convienne à la chair. Pourtant les idoles sont vraiment le culte des démons. Les choses que les nations sacrifient aux idoles, elles les sacrifient aux démons (1 Cor. 10: 20).

«Cela devint un péché, et le peuple alla devant l'un des veaux jusqu'à Dan» (1 Rois 12: 30). Le culte à l’Éternel supposait - et suppose toujours - un engagement total qui ne correspond pas à notre désir naturel! Nous n'avons pas, hélas, à chercher longtemps ici un enseignement pour nos âmes. Nous passons souvent avec indifférence, voire avec ennui à côté de tant de témoignages de la grâce de Dieu! Quelle place laissons-nous vraiment aux droits de Dieu et à son amour, à commencer par la croix où il donna son Fils pour nous?

«Et Jéroboam fit une maison de hauts lieux et établit des sacrificateurs d'entre toutes les classes du peuple, lesquels n'étaient pas des fils de Lévi» (1 Rois. 12: 31). Quiconque venait avec un jeune taureau et sept béliers, pour être consacré, devenait sacrificateur de ce qui n'est pas Dieu (1 Chr. 13: 9)! Ils sacrifiaient à Béthel, l'endroit exact où Jacob avait reconnu: «Ce n'est autre chose que la maison de Dieu, et c'est ici la porte des cieux»! (Gen. 28: 17). Béthel devient le centre de l'idolâtrie. Le Nouveau Testament décrit l'assemblée locale comme «la maison de Dieu, qui est l'assemblée du Dieu vivant, la colonne et le soutien de la vérité» (1 Tim. 3: 15). Mais toutes sortes de désordres peuvent surgir si Christ cesse d'être le centre de rassemblement de son peuple.

Les lévites repoussés par Jéroboam et ses fils de la sacrificature de l’Éternel, refusent de se joindre à une adoration blasphématoire: ils abandonnent leurs banlieues et leurs possessions et se réfugient en Juda (2 Chr. 11: 13-14). C'était pour le peuple d'Israël une perte incalculable; par contre, Juda est fortifié. Répartis normalement sur tout le territoire, les Lévites étaient jusqu'alors occupés à enseigner les ordonnances et la loi au peuple (Deut. 33: 10). Mais ils refusèrent de s'associer à l'iniquité, imités par tous ceux qui dans les dix tribus mettaient leur cœur à rechercher l’Éternel, le Dieu d'Israël. Eux aussi vinrent à Jérusalem pour sacrifier (1 Chr. 11: 16)!

Combien de chrétiens ont dû et doivent encore abandonner leurs biens par fidélité au Seigneur (Héb. 10: 34)!

Jéroboam établit aussi une fête au huitième mois, «le mois qu'il avait imaginé dans son propre coeur» (1 Rois 12: 33; Nom. 15: 39). Sans doute cette fête était-elle supposée remplacer la fête des tabernacles qui, elle, avait lieu au septième mois?

Que de pratiques et de coutumes au milieu de la chrétienté ont été imaginées par le cœur de l'homme et instaurées sans aucun fondement scripturaire !

Déjà, après avoir formé avec un ciseau l'or pour en faire le premier veau d'or dans le désert, Aaron avait osé crier: «Demain, une fête à l’Éternel !» Et le lendemain, ils s'étaient levés de bonne heure, avaient offert des holocaustes et des sacrifices et bientôt, on avait pu voir le peuple devenu idolâtre s'asseoir pour manger et pour boire, et bientôt se lever pour se divertir (Ex. 32: 5-6; 1 Cor. 10: 7)!

Désormais ici aussi, les fils d'Israël ont à disposition un cadre religieux auquel la plupart vont s'habituer aisément: des autels, des sacrificateurs et surtout des fêtes ! La plupart d'entre eux ne semblent même pas mal à l'aise d'accepter que ces deux veaux, sortis de la main des orfèvres, soient présentés par ce roi comme les dieux qui les auraient fait monter d’Égypte!

«Pécher et accomplir ses devoirs religieux, on voit souvent ces deux choses aller ensemble. Quand la puissance de la piété est absente, le contact avec les choses saintes n'en est que plus dangereux» (JND).

Jéroboam fait un pas de plus: il offre lui-même sur l'autel, faisant fumer l'encens (1 Rois 12: 33)! Alors un homme de Dieu vient de Juda, par la parole de l’Éternel, à Béthel, au moment où justement le roi officie près de l'autel, et il crie contre l'autel! Un fils va naître à la maison de David: son nom sera Josias et il offrira sur cet autel les ossements de ces sacrificateurs des hauts lieux (1 Rois 13: 2)! Dans cette remarquable prophétie, le nom d'un homme est révélé 300 ans avant sa naissance, comme il le sera aussi pour Cyrus (Es. 44 28; 45: 1) et le Seigneur lui-même (Es. 7: 14).

L'homme de Dieu donne un signe que c'est bien l'Eternel a parlé: l'autel va se fendre, et la cendre qui est dessus se répandre (1 Rois 13: 3). Follement, Jéroboam s'écrie, en étendant sa main: «Saisissez-le!». Mais Dieu a dit: «Ne faites pas de mal à mes prophètes» (Ps. 105: 15). La main, étendue par le roi contre l'homme de Dieu, sèche: il ne peut la ramener à lui! Sa force ne lui est rendue que sur l'intercession du prophète. Ici aussi, le Seigneur donne à connaître qu'il n'a pas oublié la maison de David au milieu de tout ce mal. C'est en elle que se trouvera «le réparateur des brèches» (Es. 58 : 12), et le juge de l'iniquité chez ceux qui l'ont faite.

Dieu a fait briller sa grâce en redonnant à Jéroboam l'usage de sa main. Il nous bénit selon ce qu'il est, mais jamais selon ce que nous sommes. Pourtant les manifestations successives de la colère et des compassions divines laissent Jéroboam sans excuse. Sans repentance, il pèche volontairement. C'était son cœur, plutôt que sa main, qui avait un besoin urgent de guérison!


Pourtant, «après cela, Jéroboam ne revint pas de sa mauvaise voie…»; ce fut aux yeux de Dieu un très grand péché (1 Rois 13: 33-34). Mais une fois encore, Dieu cherche à l'arrêter dans sa mauvaise voie. «Ce n'est pas volontiers qu'il afflige et contriste les fils des hommes…Recherchons nos voies, et scrutons-les, et retournons jusqu'à l’Éternel » (Lam. 3: 33, 40).

«En ce temps-là, Abija, fils de Jéroboam, fut malade» (1 Rois 14: 1). Alors le roi dans son désarroi se souvient d'Akhija, le prophète, qui lui avait annoncé longtemps avant qu'il deviendrait roi sur ce peuple. C'est seulement par un calcul politique plein d'hypocrisie qu'il a instauré tout ce culte idolâtre et égaré tout son peuple. A-t-il donc fait un retour sur lui-même? Hélas non! La fraude dont il use, de connivence avec sa femme qui se déguise, prouve qu'aucune vraie humiliation n'est produite dans son cœur. Mais quelle nouvelle folie de sa part! Dieu lui-même avertit son serviteur Akhija, dont les yeux sont devenus fixes à cause de l'âge, de l'identité réelle de la visiteuse qui va se présenter.

Akhija lui dit:«Entre, femme de Jéroboam, pourquoi feins-tu d'être une autre? Or je suis envoyé vers toi pour t'annoncer des choses dures» (1 Rois 14: 6). L'enfant va mourir au moment où la malheureuse mère entre dans la ville. L’Éternel rappelle combien il a voulu bénir Jéroboam, mais celui-ci a fait ce qui est mauvais plus que tous ceux qui ont été avant lui. « Tu t'es fait d'autres dieux…tu m'as jeté derrière ton dos » (1 Rois 14: 9). L’Éternel a parlé: tous les hommes seront retranchés de la maison de Jéroboam… et Israël aussi sera frappé «comme quand le roseau est agité dans les eaux». Il sera arraché de sa bonne terre et dispersé au-delà du fleuve, «parce qu'ils ont fait des ashères, provoquant éternelle à la colère» (1 Rois 14: 10-11, 15; 2 Rois 17: 6).

Tout ceci sera la conséquence« des péchés de Jéroboam qu'il a commis et par lesquels il a fait pécher Israël». De telles paroles nous font frissonner (1 Rois 14: 16)!

Mais que convient-il de comprendre quant aux voies de Dieu touchant ce cher enfant, Abija? Le nom d'Abija signifie: l’Éternel est mon père. A son sujet, Dieu déclare que lui seul dans cette famille entrera dans un sépulcre, car «en lui seul, dans la maison de Jéroboam, a été trouvé quelque chose d'agréable à l’Éternel, le Dieu d'Israël» (1 Rois 14: 13). Combien la fidélité de cet enfant, telle une lampe dans un lieu obscur, était précieuse aux yeux de l’Éternel! Quel «jardin clos» aux fruits exquis pour le cœur de Dieu! Alors Il y est descendu pour «cueillir des lis» (Cant. 4: 12-13; 6: 2). Pourquoi Dieu n'a-t-il pas justement laissé vivre Abija? Il a voulu le retirer d'un aussi mauvais milieu et le prendre auprès de lui, sort incomparablement meilleur! Son Père céleste l'a appelé à la maison.C'est l'exemple d'un juste recueilli de devant le mal (Es. 57: 1)! Déjà, en ces jours, était trouvé un de «ces petits qui croient en moi» (Matt. 18: 6).


Le déclin et la mort de Jéroboam:

Le jugement prononcé sur Jéroboam va s'accomplir. Le récit des faits se trouve dans 2 Chroniques 13: 1-20. Abija, le fils de Roboam, accède au trône de Juda et bientôt de grandes armées sont prêtes à s'affronter. Israël aligne exactement deux fois plus de combattants. Mais le nombre n'est pas toujours synonyme de victoire. La bataille est à l’Éternel et cette fois, il va donner la victoire à Juda. Abija avertit Israël: «Ne faites pas la guerre contre l’Éternel, le Dieu de vos pères; car vous ne réussirez pas» (2 Chr. 13: 12). Jéroboam, toujours habile, «fait prendre un détour à une embuscade» (v. 13) pour surprendre Juda. Dans leur détresse, les hommes de l'armée de Juda crient à Dieu dans la bataille, tandis que les sacrificateurs font sonner les trompettes. C'est alors que «Dieu frappa Jéroboam et tout Israël devant Abija et Juda». «Jéroboam n'eut plus de force durant les jours d'Abija; et finalement l’Éternel le frappa et il mourut» (2 Chr. 13 : 20).

Les reproches adressés par Dieu à ceux qui ont marché dans les péchés de Jéroboam:

Il est frappant de lire les reproches que Dieu adresse à chacun des rois qui ont succédé à Jéroboam et qui ont marché «dans ses péchés» (1 Rois 15: 3). Chacun est considéré comme pleinement responsable d'avoir laissé subsister ces veaux d'or et ces hauts lieux, empêchant les Israélites de retourner pratiquer le culte à Jérusalem, où Dieu avait fait habiter son nom. Ces rois qui s'adonnaient, eux-aussi, au culte des faux dieux pouvaient-ils en être excusés par ce que l’Écriture révèle: «et aussi il y avait de bonnes choses en Juda» (2 Chr. 12 : 12) ? Nous ne le pensons pas: «chacun rendra compte pour lui-même à Dieu» (Rom. 14 : 12).

Aujourd'hui aussi, des chrétiens que l'on cherche à rendre attentifs à leur responsabilité d'obéir à la Parole de Dieu, disent parfois: Ces chrétiens qui déclarent vouloir tenir ferme les vérités relatives à l'Assemblée et qui insistent sur la nécessité de se séparer du mal doctrinal et moral, ont-ils une conduite meilleure que la nôtre? Le Seigneur prend connaissance de la marche de chacun des siens, où qu'ils se trouvent. Et à quiconque il a été beaucoup donné, il sera beaucoup redemandé! Dieu mettra en lumière les conseils cachés des cœurs et chacun recevra sa louange de la part de Dieu (1 Cor. 4 : 5).

Que celui qui appartient au peuple de Dieu recherche avec soin la volonté du Seigneur révélée dans sa Parole et s'attache humblement à la mettre en pratique. Suivant l'exemple des premiers chrétiens, persévérons dans la doctrine et la communion des apôtres, dans la fraction du pain et les prières (Act. 2 : 42).

Bien des enseignements ont été pratiquement abandonnés au fil des siècles, et la chrétienté est dans un état de confusion humiliant. En sommes-nous vraiment affligés? On devient si vite indifférent et superficiel: le service du Seigneur devient pesant et nous paraît trop difficile…Demandons instamment au Seigneur de raviver notre amour pour lui: alors ses commandements ne nous seront pas pénibles (1 Jean 5 : 3) mais précieux!



En cette veille de pleine lune, prions dans le puissant et glorieux nom de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ:
- Célébrons, louons, adorons Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit pour tout ce qu'Il fait et tout ce qu'Il est

- Confessons nos péchés et repentons nous. Demandons pardons à Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit pour nos proches, pour nos nations ainsi que pour nos dirigeants.

- Plaidons le Sang de Jésus Christ sur nous même, couvrons nos demeures, nos proches, nos entreprises du sang de Jésus christ. Aspergeons le Sang de Jésus Christ sur nos quartiers, nos nations…
- Remercions le Seigneur pour ce message qui vient nous rappeler l'importance de la pureté du culte que nous rendons à notre Père céleste.
- Demandons que le voile ténébreux qui empêche les enfants de Dieu et les Nations de discerner les temps soit détruit.
- Prions pour qu'un vent de réveil, un vent de repentance souffle sur le corps de Christ et sur les Nations.
- Invitons la lumière divine dans nos vies et dans nos cultes afin que tout veau d'or subsistant dans nos vies dans nos églises soit dévoilé. Renonçons à tout ce qui n'est biblique dans nos vies et dans nos cultes avec l'aide du Saint Esprit.
- Dénonçons les œuvres de ténèbres qui vont avoir lieu en cette période de pleine lune et anéantissons les dans le nom de Jésus Christ
- Invoquons le Saint Feu contre tout autel satanique dressé en cette période pour y sacrifier des enfants ou des ministères selon :Vous renverserez leurs autels, vous briserez leurs statues, vous brûlerez au feu leurs idoles, vous abattrez les images taillées de leurs dieux, et vous ferez disparaître leurs noms de ces lieux-là. Deut. 12:3
car voici ce qu'ils font:
Il rebâtit les hauts lieux qu'Ézéchias, son père, avait détruits, il éleva des autels à Baal, il fit une idole d'Astarté, comme avait fait Achab, roi d'Israël, et il se prosterna devant toute l'armée des cieux et la servit. Il bâtit des autels dans la maison de l'Éternel, quoique l'Éternel eût dit: C'est dans Jérusalem que je placerai mon nom. Il bâtit des autels à toute l'armée des cieux dans les deux parvis de la maison de l'Éternel. Il fit passer son fils par le feu; il observait les nuages et les serpents pour en tirer des pronostics, et il établit des gens qui évoquaient les esprits et qui prédisaient l'avenir. Il fit de plus en plus ce qui est mal aux yeux de l'Éternel, afin de l'irriter. 2 Rois 21 : 2-6
- Prions pour le salut des âmes en Israël, en Afrique, en France et dans toutes les nations.
- prions pour l'accomplissement des prophéties divines en Côte d'Ivoire et en Afrique, en Israël.
- Prions pour que l’Église de Christ se prépare sérieusement à l'enlèvement.


Demeurons bénis et bonne veillée.

* http://www.bible-notes.org/article-81-les-peches-de-jeroboam-et-leurs-consequences-durables-sur-le-peuple-d-israel.html